Lors du départ en camp de vacances de jeunes d’un mouvement de jeunesse juif à Bruxelles, le service de sécurité sur place a remarqué une dame du quartier qui prenait des photos du bus, des bagages, des enfants et du dispositif policier en place.
Un membre du service de sécurité s’est dirigé vers elle pour lui demander de ne pas prendre des photos.
Elle lui a alors répondu qu’elle payait des impôts et qu’elle ne supportait pas le fait que la police soit monopolisée et perde son temps à encadrer le départ d’un groupe de jeune et à sécuriser le bâtiment communautaire où les activités annuelles se déroulent. Elle a conclu en disant : « je vois où sont les fonds ».
La police s’est jointe à la conversation et la dame a alors dit « un jour si je repasse et m’énerve à nouveau, je risque de mettre un pin à quelqu’un et j’espère que ce ne sera pas à la mauvaise personne ».
Suite à cela, la police a répondu que si elle continuait dans ce sens, c’était à elle qu’elle aurait à faire et qu’elle ferait mieux de partir. La dame est alors partie.